Alaedin Ayad est Algérien et il était parti à Kiev étudier. Il y suivait un doctorat en microélectronique et photovoltaïque. En février, il a vu les premières bombes et il a su qu'il devait partir. Il a pu s'inscrire à la Sorbonne et rester en France mais son permis de séjour expirait le 8 juin. D'autres étudiants comme lui ont reçu une "obligation de quitter le territoire français". Il a été aidé par le collectif Le poing levé.