Durant les premières trente-six heures après le séisme, Port-au-Prince est restée coupée du monde, la plupart des communications étant interrompues. Ce n'est que le jeudi 14 janvier que les témoins ont pu raconter ce qu'ils avaient vu et vécu depuis près de deux jours. Parmi eux, Pascal Priestley qui se trouvait avec Guillaume Gouet non loin de la capitale pendant la secousse.