Depuis la guerre des Six Jours en 1967 et les résolutions onusiennes qui ont suivi son acquisition forcée par les israéliens, le plateau du Golan est officiellement un territoire occupé, entrecoupée d'une zone tampon placée sous contrôle des Nations Unies. Une réalité que Donald Trump vient de balayer en même temps que des décennies de politique américaine au Moyen Orient, donnant un sérieux coup de pouce au premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.