Le Japon a renforcé ses dispositifs de sécurité après l'assassinat en juillet dernier de l'ancien Premier ministre Shinzo Abe. Pourtant, ce matin, en pleine campagne électorale, un scénario, quasi à l'identique, a visé l'actuel chef du gouvernement, Fushio Kishida, qui en est sorti indemne. Comment cela a pu arriver ?