En Birmanie, la répression se poursuit depuis le coup d’Etat de la junte militaire il y a deux mois. Les opérations se déroulent également à l’étranger. Au Royaume-Uni, l’ambassadeur birman est désormais persona non grata au sein de sa propre chancellerie. Le chef de la diplomatie britannique s’est vu notifié de la fin de son mandat. Il soutenait officiellement le gouvernement civil déchu le 1er février. Une décision que Londres dit être légalement obligée d’accepter.