Le débat a repris en France, à la suite du mouvement "Black Lives Matter" : faut-il autoriser les statistiques ethniques ? Pour certains, comme la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, des données sur la couleur de peau ou sur l'origine ethnique permettraient de mieux mesurer les discriminations. Pourtant, en réalité, ces statistiques ne sont pas réellement proscrites.