Fil d'Ariane
Pour le politologue Ziad Majed, l’explosion qui a frappé Beyrouth il y a un an n’est pas "une catastrophe naturelle, mais le fruit d’une corruption, d’une irresponsabilité criminelle, d’une médiocrité, de la classe politique qui gouverne le pays depuis des décennies". Il pointe également du doigt le "confessionnalisme qui l’alimente".