Fil d'Ariane
Au Liban, les jeunes sont redescendus dans la rue. La contestation, commencée à Tripoli, s’est étendue à Beyrouth, malgré le coronavirus et les restrictions de circulation. Des centaines de milliers de jeunes protestent contre les difficultés économiques. Avec la chute de la livre libanaise, tout est devenu cher, disent-ils. Mardi 28 avril, à Tripoli la foule est venue manifester lors des funérailles de Fawaz Fouad, un jeune mécanicien tué par un tir à balles réelles lors d’une manifestation.