Depuis le début de la crise économique, le Liban ne fournit plus à ses habitants qu'une à deux heures d'électricité par jour. Pour pallier à ces coupures et dans un contexte de pauvreté généralisée, les Libanais fréquentent de plus en plus les cafés. Ils y trouvent l'électricité dont ils ont besoin, mais aussi une connexion Internet de bonne qualité et surtout une distraction peu coûteuse et rassurante.