Un an après la catastrophe à Beyrouth, l'état d'esprit des Libanais est encore trouble. Pour le co-redacteur en chef de "L'Orient le jour", Michel Touma, ce triste anniversaire est une "journée de mobilisation populaire, de deuil et de colère, voire de révolte". La colère du peuple est dirigée vers les hautes autorités politiques du pays, mais aussi vers le Hezbollah, qui contrôlait le port.