"Les gens accrochent des affiches du président pour mieux se faire voir", lance un jeune Damascène, autrefois impliqué dans la résistance anti-Bachar. Aujourd'hui, alors que la surveillance des citoyens est à son comble, ne pas se munir d'un portrait est presque un défit lancé à la dictature. Rares sont les lieux à ne pas en être dotés.