Après la polémique autour de la mesure prévoyant des sanctions pénales pour la diffusion d’images de policiers, le ministre de l’Intérieur a présenté un amendement pour préciser que la liberté de la presse n’est pas menacée. Un journaliste avait été arrêté lors de la manifestation du 17 novembre contre la loi "sécurité globale" et placé en garde à vue pendant 12 heures justement parce qu'il filmait des interpellations.