La mort d'Abdelmalek Droukdal, le chef d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) est un "coup de pied dans la fourmilière" djihadiste, dont l'impact reste encore à déterminer. Al-Qaïda n'est pas le seul groupe à sévir dans la région. Le groupe EIGS (État islamique dans le Grand Sahara) inquiète les forces françaises. Son mode opératoire : des attaques éclair. Malgré la MINUSMA, la mission de l'ONU au Mali et l'armée française, les violences continuent au Sahel. Elles auraient fait en 2019 au moins 4.000 mort, d'après les Nations unies.