"La France ne fait pas partie du peloton de tête" concède Gilles Bloch, président directeur-général de l'INSERM, l'Institut national de la santé et de la recherche médicale. A cela, il y a plusieurs raisons, notamment "des choix industriels qui n'ont pas été pris" et des investissements moindres que ceux dont disposaient les Etats-Unis. Mais le retard va être comblé peu à peu et la France disposera de vaccins pour les pays du Sud notamment.