Un an après l'explosion qui a dévasté Beyrouth, comment la ville se remet sur pied ? Patricia Khoder, journaliste à l'Orient-le-Jour ne cache pas son désespoir. "Une personne qui a perdu sa patrie est qualifiée d'apatride. Comment doit-on nommer quelqu'un qui a perdu sa ville ?", s'interroge la journaliste. Paroles de Libanais(es), deuxième épisode.