Pedro Castillo restera derrière les barreaux pour un maximum d'un an et demi, jusqu'à l'ouverture de son procès. Selon les juges de la Cour suprême à Lima, il existe des éléments graves et fondés pour penser que l'ex-président de gauche radicale avait l'intention de perpétrer un coup d'Etat et de dissoudre le Congrès. Depuis jeudi, l'état d'urgence est en place sur tout le territoire.