Fil d'Ariane
Partidarios del régimen sirio hackean el Twitter del diario francés Le Monde. http://t.co/K98b0wl5hQ pic.twitter.com/rfJ25gTdih
— Noticias RCN (@NoticiasRCN) 21 Janvier 2015 D’après la description livrée par le quotidien dans ses propres colonnes, l’action de l’Armée électronique syrienne semble plus complexe que le "defacement" de page d’accueil. Même si, d’après Antoine Champagne, "ils ne sont pas si mauvais" et qu’ils bénéficient d’"appuis gouvernementaux", ce sont "aussi des idiots. On avait montré sur notre site reflets.info toutes leurs photos sur Facebook. On les avait tous identifiés", raconte le spécialiste. "Mais en général, un site web ne contient pas des tonnes de données. Ce n’est pas dramatique s’il est piraté. En revanche, quelqu’un qui remonte à l’intérieur du système d’information, comme ce que décrit Le Monde, peut passer d’un serveur à un autre, accéder au système qui stocke les données des abonnements avec les adresses des abonnés et les coordonnées des cartes bancaires. Là, ça devient plus grave qu’une attaque de page d’accueil." En dépit de l’amateurisme de certains pirates, quelles peuvent être les conséquences de ces attaques ? Est-on préparer à les contrer ou les prévenir ? Explications d’Antoine Champagne, co-fondateur du site d’info-hacking : reflets.info