Ils sont de plus en plus nombreux à renoncer à la religion catholique. Ces apostats ne se reconnaissent plus dans une institution éclaboussée par les scandales d'abus sexuels et accusée de soutenir la quasi interdiction de l'avortement. À la fin du mois de juin, l'Église catholique polonaise a révélé avoir reçu, depuis 2018, plusieurs centaines de nouvelles plaintes pour des agressions sexuelles sur mineurs commis par des membres du clergé.