L'austérité divise l'Union européenne, mais pour le Premier ministre portugais, son pays n'a pas le choix. C'est le prix à payer pour obtenir une nouvelle tranche d'aide de 2 milliards d'euros de la "troïka" (FMI, Union européenne, Banque centrale européenne). Sous la pression de ses créanciers, Pedro Passos Coelho a donc annoncé une série de mesures drastiques. Retrouvez notre dossier sur la politique de rigueur imposée au Portugal.