Fil d'Ariane
Le coeur serré ...
— Fringadine (@Fringadine) 28 juin 2016
Pas de mot ...
Encore ...#PrayForTurkey pic.twitter.com/uxruBILHe4
#PrayForTurkey my thoughts and prayers are with you. Disgusting how terrorists can take innocent people's lives. pic.twitter.com/OJClydKMMw
— Directioner ∞ (@1D_my_savers) 29 juin 2016
Pensée à nos frères turc ❤️❤️ #PrayForTurkey #Istanbul pic.twitter.com/cmQmqXI4ev
— ᴘᴀʙʟᴏ (@mohyzs) 28 juin 2016
Thoughts and prayers with the victims and their families and to all those effected in #IstanbulAttack #PrayForTurkey pic.twitter.com/gZABZLNPI9
— Shehneela Ahmed (@iamshehneela) 29 juin 2016
(Mes pensées vont aux victimes, à leur famille, et à tous ceux qui sont affectés par ce drame.)
#PrayForTurkey #prayforistanbul God bless this people!!! We send our love pic.twitter.com/mhdHYUekKo
— Anastasia J Neige (@wailele23) 28 juin 2016
Alors que Facebook venait d'activer sa fonction "je suis en sécurité" (Safety check), les autorités turques décidaient de censurer les réseaux sociaux, tout en décrétant l'interdiction de diffuser dans les médias toute image des attentats, pour éviter de « créer la panique et le chaos ».
La Turquie a introduit en mars 2015 des amendements à sa « loi Internet », qui permet au gouvernement de soumettre directement au régulateur des télécoms des contenus à bloquer sur Internet.
Cette fonction, "je suis en sécurité" permet aux utilisateurs de signaler à leurs proches qu’ils ne sont pas en danger. Initialement conçu pour les catastrophes naturelles, c’est lors des attaques du 13 novembre à Paris et Saint-Denis qu’il a été déployé pour la première fois dans le cadre d’un attentat. Il a depuis été activé plusieurs fois, comme après les attentats de Bruxelles ou la fusillade d’Orlando, à la mi-juin.
Voici la version de ce "safety check" ("güvendeyim" en turc) d'un dessinateur turc publié sur les réseaux sociaux.