Salah Abdeslam prenait la parole ce 15 septembre. Il a justifié son intervention "en représailles à l'intervention française en Syrie" et ajouté qu'il devait la vérité aux victimes en disant "qu'il n'avait rien de personnel à leur égard", une déclaration qui les a choquées nous dit notre correspondante au Tribunal de Paris, Sophie Neumayer.