Ce procès est aussi l'aboutissement d'une enquête qui impliquait aussi la Belgique et dans laquelle subsistent encore de nombreuses zones d'ombre. Alain Grignard était commissaire à la division antiterrorisme de la police belge : "ce procès fait naître en moi certaines craintes car cela va être la plus grande opération de communication de l'Etat Islamique depuis sa création."