Comment mène-t-on la lutte pro-démocratie quand on est en exil ? La diaspora birmane se mobilise depuis la prise du pouvoir par la junte militaire : lettres au président de la République, aux députés, aux élus locaux. La présidente de l'association "Communauté Birmane de France", Tin Tin Htar Myint rappelle que l'oppression n'a jamais cessé : "Il faut une intervention de la communauté internationale car la guerre civile, notamment contre les Karen, ne s'arrête pas, au contraire, elle s'intensifie."