La France a appelé lundi 29 juillet à la "libération rapide" du millier de manifestants arrêtés ce week-end à Moscou et d'Alexeï Navalny. L'opposant numéro un au Kremlin, incarcéré depuis le 23 juillet, a été condamné à 30 jours de prison. Sa santé s'est alors rapidement dégradée, une fois derrière les barreaux. Il a été hospitalisé en raison "d'une grave réaction allergique" selon les autorités russes. Pour son avocate, il a été "empoisonné" par "une matière chimique inconnue". Que s'est-il passé ? Explications.