Après le séisme, qui a coûté la vie à plus de trois mille Syriens, un premier convoi de l'ONU a pu passer la frontière entre la Turquie et les régions rebelles du nord de la Syrie. Damas a acheminé de l'aide humanitaire vers les régions qu'il contrôle, 70% du territoire. Les régions rebelles, elles, n'ont rien reçu. Les sinistrés du nord manquent de tout. Depuis la catastrophe, les familles à la rue tentent de s'abriter du froid glacial.