Pour Jean-François Bayart, professeur à l’Institut de hautes études internationales et du développement à Genève, le style est "terriblement ringard. Le président de la République française qui s'adresse à la jeunesse africaine... On ne sait pas ce que c'est la jeunesse, et l'Afrique c'est compliqué." Le politologue souligne qu'il faut mettre en balance ces financements en faveur de la société civile avec "la circulation des étudiants et des intellectuels qui se heurte à la prohibition de l'immigration. Nous savons très bien qu'il est à peu près impossible d'obtenir des visas pour des étudiants ou nos partenaires universitaires ou des artistes."