Dimanche, les meneurs de la contestation et le Conseil national de transition sont parvenus à un accord de transition. Mais les Soudanais exigent toujours des explications sur la disparition de manifestants lors de la répression meurtrière d'un sit-in devant le QG de l'armée à Khartoum au mois de juin. Onze procédures judiciaires ont été ouvertes.