La capitale sri lankaise est, depuis le matin du vendredi 1er avril, placée sous haute surveillance. Dans la nuit, des centaines de manifestants ont tenté de prendre d’assaut la résidence présidentielle, en exigeant la démission du chef de l’Etat, Gotabaya Rajapaksa. En cause, l’interdiction des importations qui entraîne d’importantes pénuries et l’explosion des prix des produits de première nécessité.