Après trois mois de manifestations, le soulèvement populaire sri lankais a fini par chasser le président du pays, Gotabaya Rajapaksa. Le premier ministre, Ranil Wickremesinghe, est le nouveau dirigeant par interim mais la population réclame déjà son départ. Confrontés à une récession et des pénuries sans précédent, les Sri Lankais sont désormais tournés vers un avenir incertain.