Les autorités syriennes ont rejeté ce lundi en bloc le nouveau plan de transition proposé par la Ligue arabe. Celui-ci réclamait l'abandon du pouvoir du président al-Assad. Le pouvoir syrien parle d'une "violation de sa souveraineté nationale et d'une ingérence flagrante de sa politique intérieure". La Ligue arabe maintient malgré tout le cap et a décidé d'augmenter le nombre d'observateurs, tout en demandant au régime de "faciliter leur travail".