Malgré le "non" des Britanniques à une intervention en Irak, les Américains envisagent toujours d'agir. Ils tentent de rassembler une coalition, même réduite. La France et l'Australie se sont déclarées partantes. Les Américains affirment posséder des preuves de l'implication du régime de Damas dans l'attaque chimique du 21 août. En Russie, Vladimir Poutine n'y croit pas.
Jean-Paul Chagnollaud, professeur des universités, directeur de l’IREMMO (Institut de Recherche et d’Etudes Méditerranée Moyen-Orient) et directeur de la revue internationale Confluences-Méditerranée.