« Le dalaï lama ne doit pas partir maintenant. Son départ doit se faire en douceur. Jamais nous n'avons été confrontés à une telle situation. On doit se préparer à sa succession mais pas brutalement. Nous ne sommes pas prêts. Les débats continuent et nous ne savons quelle réponse donner car ce n’est pas non plus à 47 parlementaires de décider pour 6 millions de Tibétains.», nous dit ce moine parlementaire. Plusieurs membres ont suggéré un référendum destiné aux 200.000 membres de la communauté en exil, tandis que d'autres ont recommandé une voie moyenne où le dalaï lama resterait le dirigeant politique avec une assemblée assumant de plus grandes responsabilités.