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Vidéo - Abolition de l'esclavage : une cérémonie chère à François Hollande
En ce 10 mai 2017, François Hollande vivait sa dernière commémoration de l'abolition de l'esclavage en tant que président de la République. Une cérémonie à laquelle il a participé chaque année depuis sa prise de fonction, en 2012. Retour en images sur les déclarations et les annonces du chef de l'Etat français, comme la création, en 2016, d'une fondation dédiée à la mémoire de l'esclavage.
La Fondation pour la mémoire de l'esclavage promise il y a un an par François Hollande devrait voir le jour en 2018, après la création d'un Groupement d'intérêt public (GIP) dont le Journal officiel détaille samedi les missions.
Ce groupement "Mission de la mémoire de l'esclavage, des traites et de leurs abolitions", qui "se transformera en Fondation en 2018", sera présidé par Jean-Marc Ayrault à l'issue de ses fonctions de ministre des Affaires étrangères, avait indiqué l'Elysée après la signature des statuts le 3 mai.
Quinze ans après la loi Taubira faisant de l'esclavage un crime contre l'humanité, François Hollande avait annoncé le 10 mai 2016 la création d'une fondation dédiée, une victoire pour les associations qui réclamaient "réparation" depuis des années.
Doté de "moyens nouveaux apportés par l'Etat", ce GIP "fédèrera les acteurs de la mémoire de l'esclavage" et il "mettra en oeuvre des actions éducatives, culturelles, citoyennes" sur ce sujet, selon l'Elysée.
Ce groupement "Mission de la mémoire de l'esclavage, des traites et de leurs abolitions", qui "se transformera en Fondation en 2018", sera présidé par Jean-Marc Ayrault à l'issue de ses fonctions de ministre des Affaires étrangères, avait indiqué l'Elysée après la signature des statuts le 3 mai.
Quinze ans après la loi Taubira faisant de l'esclavage un crime contre l'humanité, François Hollande avait annoncé le 10 mai 2016 la création d'une fondation dédiée, une victoire pour les associations qui réclamaient "réparation" depuis des années.
Doté de "moyens nouveaux apportés par l'Etat", ce GIP "fédèrera les acteurs de la mémoire de l'esclavage" et il "mettra en oeuvre des actions éducatives, culturelles, citoyennes" sur ce sujet, selon l'Elysée.