Les représentants de la Réunion, de la Guadeloupe, de la Martinique et de la Guyane demandent à Paris le "retrait immédiat" de la réforme du corps électoral en Nouvelle-Calédonie. Le texte a provoqué cette semaine une flambée de violence dans l'archipel. Décryptage avec Benjamin Morel, maitre de conférence à l'Université Paris 2 Panthéon Assas et Arnaud Benedetti, rédacteur en chef de la Revue politique et parlementaire.