Revivez les Jeux olympiques de Paris en images

• Le 26 juillet 2024, les légendes françaises du sport et champions olympiques, Marie-José Perec et Teddy Riner allument la vasque installée dans le jardin des Tuileries, point d'orgue de la cérémonie d’ouverture des Jeux de Paris.

(AP Photo/Dolores Ochoa)

• Le 27 juillet, les dériveurs ILCA 7 s’entraînent à Marseille, à la veille du début des épreuves de voile. Faute de vent, certaines épreuves ont été reportées.

(AP Photo/Carolyn Kaster)

• Le 28 juillet, le surfeur polynésien Kauli Vaast saute au-dessus d’une vague. Quelques jours plus tard, lundi 5 août, chez lui, à Teahupoo, il remporte l’épreuve de surf des Jeux de Paris. Il devient le premier Polynésien champion olympique, et offre à la France sa première médaille d’or olympique en surf.

(AP Photo/Gregory Bull)

• Le 29 juillet, Filippo Macchi, escrimeur italien deux fois médaillé d’argent au fleuret, affronte en demi-finale l’Américain Nick Itkin au Grand Palais. En travaux depuis 2021, le monument parisien a rouvert ses portes pour accueillir les épreuves d’escrime et de taekwondo des Jeux olympiques et paralympiques de Paris.

(AP Photo/Andrew Medichini)

• Léon Marchand entre dans la légende. Le 30 juillet, le Français nage quatre 200 mètres dans la même journée. Le lendemain, il réalise un doublé historique en remportant la finale du 200 mètres papillon et celle du 200 mètres brasse. À 22 ans, Léon Marchand sort de ces Jeux olympiques avec quatre titres individuels, et une médaille de bronze en relais 4x100m nage libre.

(AP Photo/David J. Phillip)

• Le 31 juillet, 55 triathlètes plongent et prennent le départ au Pont Alexandre III. Elles s’élancent pour 1,5 kilomètre de nage dans la Seine, 40 kilomètres de cyclisme dans les rues de la capitale et 10 kilomètres de course à pied, avec comme ligne d’arrivée le Pont Alexandre III. Jusqu’au dernier moment, les organisateurs ignoraient si la Seine serait baignable pour les épreuves. Le feu vert a finalement été donné le jour même, quelques heures à peine avant le début de la compétition.

(AP Photo/Vadim Ghirda)

• Le 1er août, la boxeuse algérienne Imane Khelif, championne d’Afrique en 2022, l’emporte en huitième de finale face à l’italienne Angela Carini. Cette dernière abandonne au bout de 46 secondes de combat. La boxeuse algérienne se retrouve alors malgré elle au cœur d’une polémique concernant son identité de genre.

(Re)voir Paris 2024 : la boxe féminine au coeur d'une controverse

(AP Photo/Ariana Cubillos)

• Le 2 août, Joshua Cheptegei, l’athlète ougandais déjà triple champion du monde, gagne le 10 000 mètres. À Paris, il remporte la première médaille d’or africaine en athlétisme de ces Jeux.

Re(lire) : Joshua Cheptegei : "J'ai planifié mon attaque aux 600 derniers mètres"

(AP Photo/David J. Phillip)

Nous, les Africains, nous avons appris des plus grands athlètes, comme Kenenisa Bekele, Haile Gébrésélassié, Eliud Kipchoge et plein d’autres… Ce sont ces légendes qui nous inspirent maintenant. 
Joshua Cheptegei

• Le 3 août, Julien Alfred, l’athlète originaire de Sainte-Lucie, une petite île située dans les Caraïbes, se pare d’or au 100 mètres, en 10,72 secondes. Le 6 août, elle termine deuxième du 200 mètres. Représentée aux Jeux olympiques depuis 1996, Sainte-Lucie n’avait jusqu’ici obtenu aucune récompense olympique. À 23 ans, Julien Alfred offre à son pays un titre olympique et une médaille d’argent.

(AP Photo/Bernat Armangue)

• Le 4 août, Cindy Ngamba, de l’équipe des réfugiés, célèbre sa victoire en quart de finale face à la Française Davina Michel. L’équipe des réfugiés, crée pour les Jeux olympiques de Rio en 2016, représente plus de 100 millions de personnes dans le monde. Originaire du Cameroun, Cindy Ngamba vit en Angleterre depuis ses 11 ans. Elle y obtient le statut de réfugiée en 2020. Cette année, pour la première fois de son histoire, l’équipe des réfugiés obtient grâce à elle sa première médaille olympique.

(Re)lire : Cindy Ngamba : "Ma médaille montre que tout est possible pour les réfugiés"

(AP Photo/John Locher)

 Nous sommes des millions et ma médaille montre que tout est possible pour les réfugiés.
Cindy Ngamba

• Le 5 août, la gymnaste américaine Simone Biles termine ses Jeux olympiques avec la finale des épreuves de poutre. Arrivée à la cinquième place, elle quittera toutefois Paris avec quatre médailles, dont 3 en or. Elle est à ce jour la gymnaste la plus titrée de l’histoire et la première à avoir brisé le tabou de la santé mentale des athlètes de haut niveau.

(AP Photo/Abbie Parr)

• Le 6 août, l’Australie et la Suisse disputent les quarts de finale de beach-volley féminin à l’Arena du Champ-de-Mars, au pied de la Tour Eiffel.

(AP Photo/Robert F. Bukaty)

• Le 7 août, l’athlète mexicaine Alegna Gonzales passe devant la Tour Eiffel pendant le relais marche par équipe mixte. Les Mexicains termineront cette course de 42 kilomètres en 2 heures 52 minutes et 38 secondes.

(AP Photo/Dar Yasin)

• Le 8 août, Letsile Tebogo devient le premier champion olympique africain du 200 mètres. À 21 ans, il vient de battre le record d’Afrique sur cette distance et pourrait devenir l’un des nouveaux visages de l’athlétisme mondial.

(AP Photo/Mark Baker)

Re(lire) : Letsile Tebogo : « Je ne veux pas régner seul, je veux que l’Afrique règne »

« L’Afrique peut régner sur l’athlétisme. Je ne veux pas régner seul, je veux que l’Afrique règne. Moi, on m’a sous-estimé de très nombreuses fois, je n’étais pas toujours sur les listes des potentiels vainqueurs… »Letsile Tebogo