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Dans une tribune publiée dans le quotidien Le Parisien, plusieurs athlètes, dont la skieuse Marie Martinod, l'ancienne patineuse Nathalie Péchalat et le judoka Teddy Riner, expriment leur colère face aux récentes révélations sur le milieu du patinage français.
"Ça peut arriver dans toutes les fédérations", la championne d'escrime Astrid Guyart réagit au témoignage de Sarah Abitbol. Avec 53 athlètes olympiques elle signe une tribune pour dire stop aux violences sexuelles dans le sport :https://t.co/wRpIfop9Wo pic.twitter.com/eOZb8sO23p
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Abus sexuels dans le sport : Catherine Moyon de Baecque, la première sportive à avoir brisé l'omerta - Institut National de l'Audiovisuel https://t.co/ArC6grNByG #metoo pic.twitter.com/RmzoASI7h9
— SexualAbuseWatch (@sex_abuse_news) February 5, 2020
Violences sexuelles dans le patinage : "Il y a un silence institutionnalisé", a expliqué la ministre des Sports Roxana Maracineanu pic.twitter.com/YVXbQBQ3jm
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#sports Violences sexuelles dans le patinage français : démission d’un quart du bureau exécutif de la @ffsportsdeglace #Patinage@Sports_gouv @Egal_FH @INSEP_paris @thepatinage @colossepiedsdar@Fond_Scelles @Fondationfemmes @ap @memoiretrauma #metoohttps://t.co/WZLWJkWQq0
— Jean-Philippe Calmus (@CalmusJP) February 5, 2020
Didier Gailhaguet après sa rencontre avec la ministre des Sports à Paris, lundi 3 février 2020.
Sous pression, Didier Gailhaguet trouvera-t-il une nouvelle fois la parade ? Ce n'est pas la première fois qu'il est dans le collimateur. Eclaboussé par une affaire de tricherie aux JO de Salt Lake City en 2002, il avait été interdit de toute fonction dans le patinage international pendant trois ans. Il avait également dû démissionner en 2004 de la présidence de la FFSG, après un rapport de la Cour des comptes dénonçant des dérives de gestion, mais il avait retrouvé la tête de la fédération en 2007.
Les signataires de la tribune plaident pour "la création d'une cellule d'écoute des victimes, indépendante des fédérations", ainsi qu'un contrôle systématique des casiers et antécédents judiciaires "des bénévoles, des entraîneurs et des dirigeants de clubs et de fédérations". Ils ont aussi appelé à mettre en place des "actions de formation, de sensibilisation et de prévention" et des "mesures législatives" pour les personnes impliquées dans des affaires de violences sexuelles.
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