Les talibans s'étaient engagés à laisser les filles aller à l'école. Or, nous rappelle Chékéba Hachemi, Présidente de l'ONG "Afghanistan libre", "aller à l'école en Afghanistan n'est pas anodin". Les jeunes filles savent qu'elles risquent leur vie et quand le 22 mars, jour de la rentrée scolaire, elles on vu que les écoles étaient fermées, "elles ont pleuré de rage". Cette femme engagée a ouvert la première école pour filles au Panshir en 2000. Elle nous livre un témoignage effrayant de la réalité sur le terrain.