Avant le Covid, les médias français nous expliquaient qu'il régnait comme une ambiance de fin de règne en Allemagne. Qu'Angela #Merkel était finie.
— MeilleurPlacement (@mplacementcom) July 1, 2020
Qu'elle avait fait le mandat de trop.
La voici aujourd'hui à nouveau au sommet de sa popularité.

Je forme des voeux chaleureux pour le plein succès de la présidence allemande de l’. Angela Merkel, aidée en cela par @EmmanuelMacron, a l’autorité, les moyens et la capacité d’entraînement reconnus pour sauver l’Union. Elle saura convaincre les frugaux et assagir les cigales.
— Jean Arthuis (@JeanArthuis) July 1, 2020
C’est cependant dans des moments aussi cruciaux que se joue parfois le destin de grands projets. Celui de l’Union européenne est fortement menacé. A un peu plus d’un an de la fin de son quatrième et dernier mandat et à l’aube de sa seconde présidence tournante de l’UE – qu’elle entame le 1er juillet –, Angela Merkel a saisi le sens de l’histoire. Et elle veut éviter à tout prix l’éclatement de l’Europe.
Angela Merkel n’a jusqu’à présent pas été une grande européenne, loin de là. Va-t-elle parvenir, dans la dernière ligne droite avant sa retraite politique, à prendre sa place aux côtés des Kohl, Schmidt, Adenauer? Mon analysehttps://t.co/iuKcWVjlBU
— Jean Quatremer (@quatremer) July 1, 2020
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